| La magie est une force rare et imprévisible, puisée directement du [[magie:Voile]], la barrière séparant la réalité du plan l'Immatériel. Manipuler cette puissance brute n’est pas sans risque : chaque incantation grignote la stabilité du lanceur et peut attirer des entités malveillantes de l'au-delà, transformant la moindre erreur en un désastre aux conséquences imprévisibles. À chaque sort lancé, les arcanistes jonglent avec le danger de l'échec, risquant une corruption progressive, des mutations temporaires ou même des catastrophes dépassant leur contrôle. Les lanceurs de sorts sont donc perçus avec crainte et fascination, se tenant en équilibre entre le savoir interdit et la menace d'un prix à payer bien au-delà de leur pouvoir. Dans le monde d’Arkadia, la magie n’est pas une science. Elle est instinctive, capricieuse et fondamentalement imprévisible. Elle ne peut pas être utilisée de manière fiable pour transformer durablement le monde, seulement pour le troubler, le déchirer ou l’infléchir brièvement. | La magie est une force rare et imprévisible, puisée directement du [[magie:Voile]], la barrière séparant la réalité du plan l'Immatériel. Manipuler cette puissance brute n’est pas sans risque : chaque incantation grignote la stabilité du lanceur et peut attirer des entités malveillantes de l'au-delà, transformant la moindre erreur en un désastre aux conséquences imprévisibles. À chaque sort lancé, les arcanistes jonglent avec le danger de l'échec, risquant une corruption progressive, des mutations temporaires ou même des catastrophes dépassant leur contrôle. Les lanceurs de sorts sont donc perçus avec crainte et fascination, se tenant en équilibre entre le savoir interdit et la menace d'un prix à payer bien au-delà de leur pouvoir. Dans Arkadia, la magie n’est pas un outil de civilisation. Elle est instinctive, capricieuse et trop imprévisible pour être exploitée de façon stable. Contrairement aux mondes où les sorts bâtissent des cités, alimentent des économies ou assurent des transports sûrs, la magie ici ne laisse que des éclats fugaces et des cicatrices. Elle peut bouleverser un champ de bataille, terrasser un ennemi ou provoquer une vision, mais jamais fonder une société. Les hommes ne bâtissent pas d’empire avec la magie : ils la craignent, l’admirent ou la subissent. |