''Lien [[jdr_campagne:ouvrages]]'' **Extrait du livre "Vie et voyages" par Tenulas :** Dhangabad apparait aux voyageurs tel un point scintillant au milieu des grandes plaines arides du Naab, la splendeur de ses dômes d’or et de ses murs colossaux éblouissant le voyageur des kilomètres avant son arrivée. Fasciné, je demandais alors à mon guide, un Khyazal taciturne, quelle force prodigieuse avait pu soulever ces blocs de pierres larges comme deux éléphants, celui-ci me répondit que le peuple qui vivait en ces murs étaient des sorciers, craint de tout les peuples de la région, et qu’ils avaient à leur service des créatures dont l’âme était plus sombre que la nuit elle-même. Il m’apprit que ces sorciers avaient édifiés ces murs bien des générations en arrière pour se protéger des envahisseurs d’alors, qui n’étaient autres que les peuples humains à cheval qui déferlaient dans ces plaines à la première migration… Je compris que les habitants de cette splendides cités n’étaient pas des hommes. Lorsque nous passâmes les murs d’une taille prodigieuse et gravés de runes magiques, tout mes sens s’émerveillèrent. Dans les senteurs d’épices de toutes sortes, de grands bazars s’étendaient dans les dédales tortueux d’une cité prodigieusement grande. Des bâtiments plus colossaux que je n’en eu jamais vu surplombaient le quartier des marchands, leurs dômes d’or polis scintillant tels des phares. Les autochtones me rappelèrent les nyméens, mais on les voyait en fait très peu, une grande partie de la cité étant fermée aux étrangers, les dirigeants locaux, que l’on nommait les conjurateurs, n’aimant pas voir déambuler les humains proches de leurs temples. Mais ce qui me frappa bien plus fût la découverte de ces créatures, horrible, monstrueuses, mais tout à fait placide et inoffensives, qui, déambulant à travers la cité, travaillait à la place des autochtones, dont on me disait que la vie entière se résumait à œuvrer pour l’avancée de la magie et des sciences.