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La culture koshite est ancrée dans des traditions millénaires, marquées par un profond respect pour les ancêtres et les lois religieuses. La société est organisée autour de la famille et du clan, avec une structure patriarcale forte où les aînés, en particulier les hommes, détiennent l’autorité. Les Koshites valorisent avant tout la loyauté envers la famille et la communauté, et la cohésion sociale repose sur des alliances entre clans puissants, souvent scellées par des mariages arrangés. L’honneur et la réputation d’un clan sont des concepts essentiels, et chaque famille s’efforce de maintenir son statut à travers le respect des coutumes, des rituels et de la parole donnée.

Le peuple koshite est aussi caractérisé par un fort attachement à la loi religieuse, qui régit autant les aspects sociaux que spirituels de la vie. Le sabbat koshite, un jour de repos sacré, est observé avec dévotion, et les festivals religieux rythment l’année, honorant les ancêtres et les divinités protectrices de la terre et de l’eau. Les prêtres, bien qu’ils n’aient pas de pouvoir politique direct, exercent une influence majeure sur la société à travers leur rôle de guides spirituels et interprètes des volontés divines. La justice est également imprégnée de ces principes religieux, et les tribunaux locaux, souvent dirigés par des sages respectés, jugent les affaires en se basant sur des textes sacrés et des traditions orales.

Sur le plan social, les Koshites sont des commerçants et des artisans réputés, leur économie étant fondée sur le commerce de produits agricoles, notamment les épices et les huiles, ainsi que des tissus finement travaillés. La maîtrise des routes commerciales terrestres et fluviales leur permet de prospérer, faisant de Kosh un carrefour économique entre les différentes régions de Solaris. Les Koshites accordent une grande importance à l'hospitalité et à la générosité, considérant le partage comme une vertu sacrée. Les marchés koshites sont des lieux de rencontre animés où les échanges commerciaux sont aussi importants que les discussions philosophiques et religieuses, reflétant leur amour pour la parole et la transmission de la connaissance.