Les nyméens sont un peuple non-humain très ancien, dont les racines remontent aux temps les plus reculés du continent de Paxia. Ils régnaient autrefois sur de grands royaumes s'étalant le long des fleuves du continent, sièges des plus grande avancées magiques, philosophiques et artistiques du monde.

Connus pour leur raffinement esthétique et leur maîtrise de la magie, ils ont été au cœur d'une civilisation prospère et avancée avant d'être bouleversés par une chute majeure à l'arrivée des humains sur Paxia, qui dévastèrent une à une leurs cités. Leur culture était imprégnée d'une profonde appréciation de l'art sous toutes ses formes, ainsi que d'une recherche inlassable de la magie et de la connaissance.

À la suite de cette migration, les grandes cités-États nyméennes furent réduites en ruines, laissant les Nyméens dispersés et désemparés. Ils trouvèrent refuge sur une étroite bande de terre marécageuse, proche de la mer, où ils tentèrent de reconstruire leur vie. Cette terre porte aujourd'hui le nom de Nymérie et est le sièges des dernières cités-état indépendantes nyméennes, en prise à d'inséssant conflit contre l'Empire de Kador, qui ne cesse depuis des siècles d'essayer de les subjuguer.

Les nyméens sont légèrement plus petit qu’un humain moyen, les mâles mesurant environ 1m70, leur corps élancé et musculeux leur donne une agilité supérieure à la moyenne, et leurs puissants muscles inférieurs leur permet de bondir plus loin que n’importe quel humain. Ils possèdent des cornes, allant souvent par paire, mais pouvant grandement varier en taille, en nombre et en formes. Il en va de même pour leur peau, qui peut aller de l’orange au bleu.

• Durée de vie : les nyméens peuvent vivre jusqu’à 150 ans.
• Magie : les nyméens ont une très forte propension à la magie, en plus d'être très résistant à la corruption. Les rares nyméens n'ayant pas le don sont souvent discriminés.
• Langue: les nyméens ont une langue qui leur est propre, le neonyméen, qu'ils utilisent pour communiquer entre eux, la plupart n'a cependant aucun mal à communiquer dans la langue arkadienne, qui sert de lingua franca pour le commerce.