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| faraia [2018/01/25 14:01] – created superuser | faraia [2018/04/05 19:12] (current) – superuser |
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| ====== Faraïa ====== | ====== Faraïa ====== |
| Tous les contes anciens parlent de Faraïa, dernière des filles de la fratrie des célestes, comme de la plus douce et aimantes des Anciens. Faraïa aimait les enfants, la danse et la musique, elle était une chanteuse exceptionnelle, capable de faire pleurer le terrible Mitrandor et de soulager un temps la plus profonde des peines de Malakar. Elle était l’épouse du puissant Vahalarius et sœur-jumelle de Malakar qui l’aimait d’un amour fou. A l’origine du monde elle créa les Alawins, les choses qui poussent, ainsi que les Alawa, les animaux, plus tard, avec l’accord de Vahalarius, elle créera les Dryades et les Centaures pour protéger les Alawins des Alawa. Pendant longtemps, elle sut apaiser les ardeurs du tumultueux Vahalarius malgré le fait qu’elle n’éprouvait que peu d’amour pour lui. Elle était consciente que son devoir envers son peuple passait avant son plaisir personnel, et c’est pourquoi elle œuvra dans l’ombre pour retenir la main de son mari, ce qui permit à son peuple de prospérer. Considérée comme une déesse mère, la vie de Faraïa et sa mort tragique lui valent aujourd’hui une grande popularité parmi tous les peuples d’Anderia. Déesse du foyer, de la terre nourricière, de la nature, de l’enfance, de la maternité et de la musique, de nombreux cultes lui sont voués à travers tous les peuples et cultures de la terre. | //Voir ([[Âge du mythe]] | [[Croisade Sanglante]])// |
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| | > //La plus jeune, pourtant la plus sage, son dernier soupir fut celui de son peuple. Car la nature elle-même jadis si belle se ternit, l’abondante nourriture pris goût de cendre et tous les êtres du plus humble au plus noble pleurèrent en cœur la perte de leur mère. Le monde bascula de l’idylle au cauchemar, de la beauté à la laideur, de la lumière à l’ombre, car elle était l’amour et la douceur, et sans elle, Ewä n’était plus.// |
| | > //Faraïa, prose elfique.// |
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| | Tous les contes anciens parlent de Faraïa, dernière des filles de la fratrie des [[célestes]], comme de la plus douce et aimantes des [[Anciens]]. Elle aimait la dance, la musique et les enfants, ses chants étaient d’une beauté telle qu’ils faisaient pleurer le puissant [[Mitrandor]], mais son art véritable était son talent inné pour la création. Si les [[Anciens]] créèrent des serviteurs, [[Faraïa]] créa la vie non pas par intérêt, mais par amour. |
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| | Façonnant les //Alawins//, les choses qui poussent puis les //Alawas//, les animaux, elle sera la mère de presque tout ce qui vie sur [[Ewä]]. Constatant que les Alawins seraient incapable de se défendre des Alawas, elle créa alors les [[dryades]] et les [[centaures]] comme gardiens de ses forêts. |
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| | Epouse du puissant [[Vahalarius]], dont elle ne fût jamais réellement amoureuse, elle fît passer toute sa vie son devoir envers son peuple au-dessus de ses désirs personnels. Sa patience lui permit d’adoucir les humeurs tumultueuses du roi des [[Anciens]] et plus d’une fois elle retint son bras alors que celui-ci s’apprêtait à commettre l’irréparable. Elle éprouvait pitié et compassion pour son jumeau [[Malakar]], exilé dans les [[Tréfonds]], qui l’aimait passionnément malgré la jalousie de [[Vahalarius]]. |
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| | Elle mourra par accident durant [[Âge du mythe#le banquet des larmes]], son frère [[Malakar]], humilié par [[Vahalarius]], utilisera une magie sombre pour tuer son ainé mais [[Faraïa]] désespérée s'interposera pour arrêter son jumeau et reçevra la salve. Elle mourut dans d’atroces cris d’agonie, ce qui déclencha la furie des [[Anciens]] contre [[Malakar]], lui-même effondré par l’acte qu’il venait de commettre. Tous ses frères et sœurs furent durement éprouvés par sa mort, qui sera l’élément déclencheur de la [[Croisade Sanglante]]. |
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| | Considérée comme une déesse mère, la vie de Faraïa et sa mort tragique lui valent aujourd’hui une grande popularité parmi tous les peuples d’[[Ewä]]. Déesse du foyer, de la terre nourricière, de la nature, de l’enfance, de la maternité et de la musique, de nombreux cultes lui sont voués à travers tous les peuples et cultures de la terre. Sa vie inspira l’[[Ancienne Voie]], une pensée philosophique elfique des elfes [[Eledìns]] visant l'harmonie avec la terre. |
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